Voici le salaire confortable du Joueur du Grenier sur Twitch
Découvrez le salaire confortable du « Papy Grenier » sur Twitch, et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est beaucoup moins que Squeezie ou Antoine Daniel !
Figure incontournable de Youtube, le Joueur du Grenier, de son vrai son Frédéric Molas, a depuis quelques années ajouté la compétence « streameur » à son éventail de talents. Et même si YouTube reste son activité principale, il n’en reste pas moins que Twitch apporte un complément de salaire plus que confortable à « Papy Grenier ».
En ce qui concerne la rémunération, le Joueur du Grenier avait dressé un comparatif entre Youtube et Twitch. Sans rentrer dans le détail des chiffres, le vidéaste avait affirmé que son activité de streameur était plus rentable : « On est tous d'accord pour dire que Twitch, c'est 100 fois moins de boulot et 100 fois mieux payé », avait déclaré le JDG.
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Combien gagne le Joueur du Grenier sur Twitch ?
Si l'on regarde de plus près TwitchTracker et les abonnements générés sur la chaîne Twitch du JDG, ce dernier obtient une moyenne de 2 929 abonnements sur les 12 derniers mois. Sachant que le contrat Twitch prévoit une répartition à 50/50 sur les revenus liés aux abonnements, on peut dire que Fred touche en moyenne 5 858 euros par mois.
En revanche, si le Joueur du Grenier bénéficie d’un contrat spécial avec Twitch, ce dernier prévoit que les streameurs "phares" de la plateforme peuvent négocier une plus grosse part, allant jusqu'à 70 %. Ainsi, le JDG dispose d'un contrat spécial, ce dernier gagnerait en moyenne 8 172 euros par mois.
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Des revenus sous-estimés ?
Évidemment, il est toujours bon de rappeler que cette somme n'arrive pas telle quelle dans la poche du Joueur du Grenier. Il faut en déduire les impôts et tous les frais liés à son activité comme la connexion Internet ou encore le matériel informatique. Par ailleurs, cette estimation ne prend en compte que les abonnements Twitch. Elle n'englobe pas les dons, les bits ou encore les différents partenariats commerciaux, les fameux #ad, ou encore les revenus générés grâce aux nombreux best-of de live publiés sur YouTube.