Netflix : la véritable histoire derrière la série Kaléidoscope va vous surprendre

Enola Gambey
Kaleidoscope
© Netflix
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Cette mini-série rencontre déjà un fulgurant succès depuis sa sortie le 1er janvier 2023. Mais saviez-vous qu'elle était inspirée d'une histoire vraie ?

Kaléidoscope : une expérience inédite

L'originalité de cette nouvelle production Netflix conquit déjà les spectateurs. L'œuvre portée par Giancarlo Esposito (également Breaking Bad et The Mandalorian) peut être regardée dans l'ordre que vous le souhaitez ! Chaque épisode est nommé par une couleur, formant un kaléidoscope (jaune, vert, violet, orange, bleu, rouge, rose et blanc). Il existe donc une multitude de combinaisons possibles. En revanche, Netflix conseille à ses spectateurs de regarder l'épisode blanc en dernier. Et pour ceux qui veulent prendre le moins de risque, vous pouvez la regarder dans l'ordre chronologique.

Dans Kaléidoscope, vous suivez un groupe de braqueurs tentant de voler 7 milliards de dollars. Ces huit épisodes narrent différentes étapes de ce braquage : sa préparation, le cambriolage en lui-même, la cavale… le tout en abordant le passé des différents protagonistes, sur près de 25 années.

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Une série inspirée d'un ouragan meurtrier

Déjà deuxième des séries les plus regardées sur la plateforme en France, les internautes s'accordent pour saluer cette création d'Eric Garcia. Si elle nous fait un peu penser au célèbre Ocean Eleven, Kaléidoscope est en fait inspirée d'un célèbre fait divers.

Alors que l'ouragan Sandy frappe les Caraïbes et les États-Unis au mois d'octobre 2012, ce sont 70 millions de dollars qui partent en fumée dans un coffre-fort de Wall Street, à New York. Les responsables ? Les inondations causées par cet ouragan meurtrier. Si dans la vraie vie, il semble ne pas avoir eu de réels voleurs impliqués, pour le réalisateur, Kaléidoscope"est basé sur quelque chose qui aurait pu arriver". "C'est une couverture parfaite pour un cambriolage. Si je fais un braquage, je vais utiliser l'ouragan Sandy comme excuse", confie-t-il à Tudum.

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