Glass Onion sur Netflix : la critique cinglante du réalisateur qui déteste le titre du film
Après le succès de À couteaux tirés de Rian Johnson, Netflix nous propose un nouveau film pour la franchise. Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés est disponible depuis le 23 décembre sur la plateforme.
Sorti récemment sur Netflix, Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés nous plonge, une fois encore, au cœur d'un cluedo géant, à l'image d'Agatha Christie, porté par le détective Benoit Blanc.
Après Chris Evans, Ana de Armas ou encore Jamie Lee Curtis, ce sont les très célèbres Edward Norton, Janelle Monaé et Kate Hudson qui accompagnent Daniel Craig pour une nouvelle affaire de meurtre en Grèce.
Rian Johnson en colère contre Netflix
Si le réalisateur est fier du lancement de Glass Onion, qui se positionne en première place sur la plateforme dans plus de 80 pays et se voit déjà nommé dans deux catégories pour les Golden Globes Awards, il est en revanche très en colère contre Netflix.
Le géant américain a absolument voulu intégrer "à couteaux tirés" au titre de Rian Johnson. Lui, souhaitait que chaque épisode soit réellement présenté comme indépendant. "J'ai fait de gros efforts pour les retenir. Honnêtement, je suis énervé que nous ayons "À couteaux tirés" dans le titre. Je voulais qu'il s'appelle simplement "Glass Onion", exprime le cinéaste dans une interview pour The Atlantic et ajoute : "Je comprends, et je veux que tous ceux qui ont aimé le premier film sachent que c'est le prochain de la série. Mais ce qui m'attire, c'est que c'est un nouveau récit à chaque fois.". On comprend la colère du réalisateur face à ce titre à rallonge, mais son choix de "Glass Onion" reste encore un mystère...
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Un titre inspiré des Beatles
C'est à l'agence de presse Reuters, que Rian Johnson révèle s'être inspiré de la chanson de 1968 des Beatles, présente au générique de fin, pour son titre. Il cherchait absolument une musique avec le mot "glass" et souhaitait trouver "quelque chose d'amusant que Blanc peut saisir comme une métaphore exagérée qu'il peut battre à mort". La chanson du célèbre groupe anglais lui apparaît alors comme une évidence, "c'est une sorte de chanson sur un mystère qui n'en est pas vraiment un".
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