Ces 13 acteurs qui ont négocié des clauses complètement folles

Avec plus de 200 films à son actif, Samuel L. Jackson mérite bien une pause luxueuse de temps en temps. C'est pourquoi l'acteur a ajouté une clause à ses contrats de tournage lui permettant de jouer au golf deux fois par semaine pendant le tournage (via Vanity Fair ). Cette clause prévoit également que la production finance les sorties de golf de Jackson et assure son transport aller-retour vers les parcours de golf locaux. Jackson est connu pour jouer jusqu'à 36 trous les jours où il n'est pas prévu de tourner. Selon BuzzFeed, Jackson refuse également de faire plusieurs prises d'un plan s'il estime avoir déjà capturé ce qui est nécessaire à la caméra.

Lors du tournage du film « Éloïse à Paris » en 2010 , Uma Thurman et ses agents ont rédigé un contrat stipulant qu'elle bénéficierait de réductions financières si elle souhaitait acheter personnellement des vêtements ou des perruques à utiliser sur le plateau. Plus diva encore, le contrat stipulait qu'« aucun membre du casting ne pouvait bénéficier de loges plus avantageuses » que Mme Thurman (via le New York Daily News ). De plus, la clause imposait également à Thurman de disposer d'au moins une suite d'hôtel de trois chambres et de trois téléphones portables à utiliser pendant toute la durée du tournage. Ironiquement, le film a finalement été abandonné suite à des litiges de paiement.

Après la mort tragique de Cleo à la fin du thriller policier Set it Off, Queen Latifah ne voulait plus mourir à l'écran. Latifah a négocié une clause dans son contrat garantissant que tous ses personnages survivraient désormais jusqu'à la fin de chaque film (via The Late Show with James Corden ). Latifah a plaisanté en disant qu'elle devenait trop douée pour mourir à l'écran, précisant : « J'ai mis une clause de mort dans mon contrat après ce film. Je me suis dit : "Attendez, je commence à mourir trop bien dans ces films et si je meurs, je ne pourrai pas jouer dans la suite ." »

Selon une clause contractuelle obtenue par The Smoking Gun, Will Ferrell exigeait une flopée d'objets insolites pour Semi-Pro, dont un grand arc-en-ciel sur roues. Bien que le film soit absurde, ridicule et truffé de scènes grotesquement farfelues, Ferrell ressentait le besoin, pour une raison inconnue, d'avoir un scooter électrique, un micro-casque (à la Janet Jackson), un escalier sur roues (1,80 m), un faux arbre sur roues (4,50 à 6,10 m) et un arc-en-ciel (peint sur toile) sur roues pour son divertissement personnel. 

L'actrice oscarisée Barbra Streisand n'est pas étrangère aux exigences étranges d'une diva lors d'un tournage ou d'un concert. Selon le Daily Mail, Streisand exige systématiquement des rouleaux de papier toilette couleur pêche, assortis à sa carnation. Et selon Ranker , ses conditions de jeu incluent également le dépôt de pétales de rose dans sa cuvette de toilettes pendant le tournage. Bien qu'aucune raison précise ne soit fournie pour cette étrange exigence, le statut de grande gagnante de l'EGOT de Streisand parle de lui-même. 

Selon Variety, la célèbre actrice de télévision Julianna Margulies n'a accepté de jouer le rôle d'Alicia Florick qu'à la condition d'être autorisée à porter une perruque dans The Good Wife quand elle le souhaitait, ce qui était stipulé dans son contrat pour répondre à cette demande. Margulies a justifié sa décision par le fait qu'elle ne voulait pas qu'Alicia ressemble à Carol Hathaway, son personnage dans la série Urgences. S'il n'est pas rare qu'un acteur souhaite changer d'apparence d'un projet à l'autre, l'imposer légalement dans son contrat est une mesure extrême. Selon Margulies, lors d'une interview avec David Letterman, l'une des perruques coûtait 10 000 dollars.

Comme le prouve Latifah, la plupart des acteurs ont tendance à privilégier les suites de franchises. Cependant, après avoir incarné le méchant Sahir Khan dans le film bollywoodien Dhoom 3 film bollywoodien hollywoodien Dhoom 3 de 2013, l'acteur Aamir Khan avait fait inscrire dans son contrat une clause d'exclusivité exigeant que la franchise à succès prenne fin une fois le film terminé. Selon IBTtimes , Khan « a poussé Yash Raj Films (YRF) à ajouter une clause d'exclusivité au contrat stipulant que la société de production ne produira plus de suites après Dhoom 3 ». Bien qu'un représentant de YRF ait affirmé que cette information était fausse, aucun quatrième film Dhoom n'a été réalisé au cours de la dernière décennie.

Lorsque l'acteur suédois Dolph Lundgren s'est fait connaître dans les années 1980, il était bien conscient que son fort accent pourrait nuire à sa célébrité au box-office. Ainsi, lors du tournage des Maîtres de l'Univers, Lundgren a inclus une clause dans son contrat lui permettant de répéter correctement ses dialogues en tant que Musclor à trois reprises avant qu'un autre acteur ne soit engagé pour le doubler (via THR ). Malgré les réticences du studio à engager un doubleur, Dolph a accédé à son étrange requête et a parfaitement interprété son texte avant même qu'une aide extérieure ne soit sollicitée.

Selon le Wall Street Journal, The Rock et ses partenaires de Fast & Furious, Vin Diesel et Jason Statham, ont négocié des clauses dans leurs contrats cinématographiques limitant le nombre de coups qu'ils peuvent encaisser et la gravité de leurs blessures à l'écran. Alors que les trois stars masculines se disputaient la suprématie à l'écran, aucune d'elles n'était prête à céder et à paraître faible face aux autres.Diesel avait eu l'idée de compter le nombre de coups de pied, de poing, de coups de tête et de coups de poing que son personnage recevait à l'écran afin de garantir un combat équitable entre les personnages.

La plupart des stars de cinéma sont ravies de pouvoir augmenter leurs revenus grâce aux jeux vidéo et aux figurines. Cependant, selon The Independent, Tom Cruise a stipulé dans ses contrats cinématographiques que son apparence physique ne pouvait être reproduite pour des jeux vidéo ou des gammes de jouets. De plus, en 2017, Variety a rapporté que Cruise avait également acquis un contrôle créatif excessif dans le cadre de son contrat sur La Momie. Cela impliquait notamment de choisir une date de sortie en juin, de sélectionner les scénaristes qu'il avait personnellement approuvés et de prolonger le temps d'écran. 

Clooney pouvait tout exiger, vu sa notoriété financière, et une clause du contrat de Gravity stipulait qu'une maison privée, semblable à une cabane de plage, avec un terrain de basket, devait lui être construite de toutes pièces (via Irish Central )… Il est cependant intéressant de noter que Clooney n'apparaît pratiquement pas dans le film : il est tué dès les premières minutes et n'apparaît ensuite que dans le rêve de Ryan (Sandra Bullock). Si la séquence d'ouverture aurait sans doute pris plusieurs jours, la construction d'une maison et d'un terrain de basket pour Clooney n'était peut-être pas indispensable. 

Steve McQueen était sans aucun doute l'une des stars de cinéma les plus rentables de sa génération, tout comme Paul Newman. Cela a entraîné quelques frictions lors de leur apparition dans La Tour infernale en 1974. McQueen a exigé d'être sur un même écran que Newman (via le NY Post ), ce qui a donné lieu à une affiche plutôt étrange. Le nom de Steve McQueen apparaît en premier sur l'affiche de La Tour infernale , tandis que celui de Newman apparaît légèrement plus haut, afin de faciliter la participation des deux acteurs. De plus, McQueen a exigé que les deux acteurs aient exactement le même nombre de répliques dans le scénario et que son personnage ait le dernier mot.

Warner Bros. semblait désespéré de confier à Nicholson le rôle du Joker dans Batman de Tim Burton , le studio lui proposant de nombreuses clauses contractuelles étranges. Étant donné que Nicholson est un fervent supporter de l'équipe de basket des Lakers de Los Angeles, l'acteur a bénéficié d'un congé pour assister à chaque match à domicile (d'après Far Out Magazine ). De plus, s'il n'est pas rare qu'un acteur perçoive un pourcentage sur les recettes du box-office, Nicholson a également négocié un pourcentage sur les ventes de jouets de son personnage. Grâce aux ventes massives de jouets du Joker, Nicholson a secrètement empoché 90 millions de dollars pour Batman.