Warzone : un développeur pousse un coup de gueule contre les tricheurs
Les développeurs de Warzone appliquent la tolérance zéro vis-à-vis des tricheurs. Ainsi, dans une interview exclusive, l'un d'entre eux a déferlé sa haine à leur sujet.
La triche n'a pas sa place en jeu
Call of Duty : Warzone fait couler beaucoup d'encre sur la Toile ces temps-ci. Le jeu signé Activison est donc sûrement l'un des plus populaires de la Saga. Celui-ci rivalise en tout cas avec le nombre considérable de Battle Royales qui peuplent la galaxie du jeu vidéo. Depuis le 22 avril dernier, une nouvelle saison est arrivée, donnant un second souffle à la map de Verdansk, qui nous transporte dans les années 80. Une map qui ne devrait plus du tout ressembler à son ancienne version en somme. Avec 100 millions de joueurs, les développeurs s'inquiètent de la recrudescence de tricheurs en jeu.
La triche est donc un fléau qui affecte autant les joueurs les plus sérieux que les développeurs du jeu, qui voient leurs efforts réduits à néant. L'équipe en charge de ce jeu met donc tous les moyens nécessaires pour expédier les récidivistes hors de ces murs. "Les tricheurs sont gérés par notre équipe de sécurité", a révélé Amos Hodge, toujours à VGC. "Personne ne déteste les tricheurs plus que nous", avoue-t-il. "Nous avons 100 millions de joueurs, cela fait un an, c'est une étape énorme et l'un des meilleurs projets que nous ayons jamais conçu".
Warzone: les développeurs de Call of Duty font la guerre aux cheaters
Autant dire que ce jeu, c'est son bébé. "Nous mettons tout notre cœur dans Warzone", a dit Amos Hodge, l'un des développeurs dans une interview donnée à VGC. Entre les campeurs et les cheaters, pas si facile de jouer en toute quiétude. "La présence des tricheurs qui ruinent le jeu nous dérange plus que quiconque", a-t-il dit sans détour. "Nous créons tout ce contenu pour les joueurs. Pendant que vous êtes contrarié à cause de votre partie ruinée, je suis contrarié aussi que cela ruine certains des meilleurs travaux que j'ai réalisés dans ma vie".