Top jeux : 7 jeux vidéo japonais qui sont allés beaucoup trop loin

Lolita Syndrome, un jeu au concept ignoble sorti en 1983. Dans ce titre développé par Katsumi Mochizuki, vous entrez dans la « Maison Lolita ». Plusieurs petites filles y sont retenues captives. Le joueur doit résoudre plusieurs puzzles pour les sauver une par une. Échouer conduit à leur mort violente, et les sauver les amènent à finir entièrement nue. Honteux. Heureusement, le titre et son créateur se se sont fait incendier à l'époque.

Battle Raper est développé par le même studio que Rapelay. Vous ne serez donc pas étonné que dans ce jeu de combat, les combattantes perdent très facilement leurs vêtements durant les affrontements. Jusqu'à finir entièrement nues la plupart du temps. À la fin des combats, les personnages peuvent avoir des relations, parfois non consenties, ce qui créa une énorme polémique à la sortie du jeu en 2002.

Cho Aniki Zero propose un concept jamais vu (et ce n'est pas plus mal). Dans ce shooter où la plupart des personnages sont en slip, vous devez collecter de la semence pour battre le terrible boss de fin. Un moyen original de le sauver le monde. Final Fantasy tremble. L'ensemble du jeu, des personnages aux dialogues, est tout aussi stupide et barré.

La licence de combat Dead or Alive se montre déjà particulièrement sulfureuse. Dead or Alive Xtreme 3, spin-off de la saga, saute les pieds dans le plat dans le lubrique, de manière très grossière. Le jeu fait semblant de proposer le concept du beach-volley comme élément central, mais c'est bien sur le physique des personnages que Dead or Alive Xtreme 3 se concentre. Mieux vaut ne pas y jouer devant ses proches.

Omega Labyrinth Z est interdit dans beaucoup de pays. Pourquoi ? Car dans ce rogue-like, la montée de niveau s'accompagne... d'un grossissement de la poitrine du personnage. Les positions suggestives sont évidemment de la partie dans ce jeu qui a été interdit dans de nombreux pays. Pas de quoi faire trembler Hades, donc.

Rapelay est sans aucun doute le jeu japonais le plus controversé de l'histoire du jeu vidéo. Le but est de traquer une mère et ses deux filles afin de les violer. Plusieurs modes de jeux tous plus horribles les uns que les autres sont disponibles. À cause de son concept odieux, Rapelay n'est sorti qu'au Japon (et aurait mieux fait de ne pas sortir du tout).

Vous connaissez les jeux de « date sim » ? Ils vous placent aux commandes d'un personnage qui va devoir courtiser une ou plusieurs personnes. Hatoful Boyfriend, sorti en 2014, reprend le même concept, mais vous allez devoir séduire... des pigeons. À la StPigeoNation's Institute, vous êtes le seul humain, et de nombreux pigeons recherchent l'amour. Du grand n'importe quoi à la japonaise.