GTA : les 11 morts les plus jouissives de la série

Arrogant, égoïste et manipulateur, l'agent corrompu du FIB a sans cesse détourné le scénario du jeu pour son propre intérêt.

Sa mort n'en est que plus douce, à condition bien sûr d'avoir choisi l'option C.

Véritable laquais de Billy Grey, le leader du groupe de bikers des Lost, Brian représente tout ce qu'il y a de pire en l'homme : raciste, antisémite, couard, puéril et immature.

Si le joueur décide de ne pas le tuer dans sa planque, il réservera à Johnny Klebitz un nouvel aperçu de sa lâcheté en le piégeant dans un guet-apens. 

La tempétueuse latino-américaine est bien connue pour sa violence sans limite et sa propension à trahir ses amants. Hystérique, psychopathe et égocentrique, Catalina voue une haine féroce aux hommes. 

Après une énième embuscade tendue contre Claude, ce dernier fera une fleur au monde en l'éliminant dans son hélicoptère.

Le sergent qui ne prend jamais rien au sérieux est la cause principale de tous les malheurs de Victor Vance, qui se destinait pourtant à une carrière de militaire. Après l'avoir fait virer de l'armée pour déshonneur pour ses propres fautes, il le trahit une nouvelle fois avant de contribuer à l'enlèvement et séquestration de Louise, sa petite amie.

Tué à la fin du jeu, Victor crachera sur son cadavre, signe d'un juste retour des choses.

Compère du charismatique Frank Tenpenny au sein de l'unité de police du C.R.A.S.H., Pulaski a marqué les joueurs par son comportement violent, son tempérament impulsif et son sadisme.

Après avoir constamment profité du travail de CJ et essayé de le tuer, sa dernière requête avant de mourir (coucher avec Kendl, la soeur de Carl) confirme la personne pathétique qu'il était.

Pour paraphraser CJ : "Tu auras été un c*nnard jusqu'au bout."

Le multi-milliardaire et vampire capitaliste a agacé tous les joueurs avec ses leçons de morale à deux balles et sa propension à ne jamais retourner un service rendu. 

Si vous choisissez l'option C, vous pourrez assister à sa chute. Sa dernière conversation avec Trevor, enfermé et ligoté dans le coffre de sa voiture, sonne comme une musique à nos oreilles.

Vincenzo et le protagoniste Toni Cipriani vouent une incroyable détestation mutuelle. Autoritaire et dénué de toute classe, le capo de la famille Leone trahit une première fois Toni. 

Une fois revenu dans les bonnes grâces de Salvatore Leone, Toni est invité par Vincenzo à faire la paix dans la cale isolée d'un bateau... pour finalement être à nouveau dupé. Après une séquence marquante où il doit se défaire de mafieux dotés de tronçonneuses, Toni engage Vincenzo dans une fusillade et le tue. 

Réputé pour sa fortune et tempérament colérique, le baron de la drogue de Vice City pensait être au-dessus de tout le monde.

Principal responsable des événements du jeu, le chétif Colombien est violemment délogé de son manoir par Tommy et Lance, dans l'une des missions les plus marquantes de la saga. 

"Good night, Mr. Diaz."

La condescendance de ce personnage envers Niko nous a rendus fous. Insultant et désagréable à longueur de journée, l'usurier de Roman pensait qu'il était un gros poisson dans le vaste océan criminel de Liberty City.

Sa mort est sans conteste l'une des plus réjouissantes.

Sa trahison envers Tommy Vercetti est impardonnable. Maillon faible du partenariat entre les deux criminels, Lance a agacé les joueurs en prenant des risques démesurés et en demandant plus de considération que ce qu'il ne méritait.

La dernière danse de Lance Vance fut de loin la plus satisfaisante de toutes.

D'abord perçu comme un personnage sympathique et avenant, surtout par rapport à son ami Mikhail Faustin, l'antagoniste principal de GTA IV a choqué tout le monde en trahissant Niko.

Tapi dans l'ombre, le dealer russe a notamment orchestré l'enlèvement de Roman, le cousin de Niko. Il est tué à la fin du jeu, soit par vengeance, soit en réponse à une nouvelle trahison. Et c'est bien mérité.